C’est la dernière tendance outdoor à la fois bonne pour la santé et pour l’environnement : cet été, on adopte le vélo à assistance électrique (VAE) que ce soit pour se balader ou aller au travail. Vente-unique.com fait le point ce nouveau mode de transport écologique et économique et vous aide à bien choisir votre vélo électrique.
Le plaisir du vélo avec des contraintes en moins
Que vous soyez déjà un adepte de la bicyclette ou que vous vouliez faire des économies en laissant votre voiture au garage, le vélo à assistance électrique a tout pour vous plaire ! Faisons tout de suite tomber les idées reçues : oui, il va falloir pédaler car il s’agit là d’une assistance qui apporte un complément au pédalage. En revanche, oubliez les montées trop fatigantes, les journées où vous n’arrivez pas à avancer à cause du vent, les redémarrages difficiles au feu rouge et les trajets plus ardus lorsque vous transportez un enfant. Autrement dit, l’excuse de ne pas prendre son vélo sous prétexte que vous allez arriver en sueur au bureau ne tient plus. Avec l’assistance électrique qui accélère le mouvement du pédalier et diminue ainsi l’effort à fournir, vos trajets en seront nettement facilités. Et si l’effort est moins important, cela signifie que vous pourrez aller plus facilement plus loin et donc allonger votre temps de trajet ou de balade à vélo sans même y penser. On se déplace rapidement et sans grand effort, en évitant les bouchons et en respectant l’environnement. Une vraie révolution !
Le VAE côté technique
Le vélo à assistance électrique existe aussi bien en vélo de ville (Belair II d’Inowin) qu’en VTT (Ventoux d’Innowin) mais également en version pliable (Bee’Cycle II d’Innowin) pour ceux qui manquent d’espace ou qui souhaiteraient glisser le vélo dans une voiture. Côté vitesse, les vélos classiques sont bridés à 25km/h et seul certains modèles dits « speed bike » permettent de rouler à 45km/h mais sont alors considérés comme des deux-roues motorisés en matière de sécurité, d’immatriculation et d’assurance.
Côté batterie, vous pourrez facilement réaliser des trajets en ville grâce à une autonomie comprise entre 50km et 95km selon les modèles et l’usage du vélo. Notez que plus l’ampérage du modèle est élevé, plus grande sera l’autonomie. Quant à la recharge de cette dernière, il faudra compter quelques heures (4h à 6h pour une batterie vide), ce qui reste assez économique.
Bien sûr, le VAE présente aussi quelques inconvénients et demandera un temps d’adaptation quand à son usage. Du fait de la batterie, ce vélo est par exemple un plus lourd qu’un modèle classique. Il est aussi plus en proie au vol qu’un modèle classique et il est donc recommandé de retirer la batterie lorsque vous le garez à l’extérieur.
Des aides à l’achat
Certes le vélo à assistance électrique présente un certain coût à l’achat mais son entretien reste bon marché. Par ailleurs, il est bien moins coûteux qu’une voiture ou qu’un deux roues tout en donnant plus de liberté que les transports en communs. Une formule qui a déjà séduit les plus jeunes et les moins jeunes de tous horizons et notamment grâce à son caractère écologique : aucune émission de gaz à effet de serre et une consommation électrique moindre. Pour encourager ce mode de circulation respectueux de l’environnement, certaines mairies (comme Paris) remboursent jusqu’à 33% de votre achat avec un plafond de 400 euros. Si votre mairie n’est pas concernée par ce dispositif d’aide, sachez que vous serez éligible au « bonus vélo », une aide financière de l’Etat, accordée par l’Agence de Services et de Paiement (ASP) jusqu’au 31 janvier 2018 qui représente 20% du coût d’acquisition de votre vélo avec un plafond maximum de 200 euros. Un vrai coup de pouce pour changer ses habitudes !